Témoignage de Mme Parent
Le Docteur Parent exerce son métier de vétérinaire avec passion depuis plus de 20 ans. Vétérinaire confirmé, elle consacre son énergie à soigner les animaux à poils, à plumes et à écailles. Elle apprécie tout particulièrement le partage humain. Dynamique et spontanée, elle crée avec ses patients une relation de confiance. En plus du professionnalisme, elle fait preuve de psychologie et de compréhension.
Le bien-être du patient est un objectif prioritaire. Découvrez la première partie de son témoignage !
Pourriez-vous vous présenter ?
Je suis docteur vétérinaire depuis un peu plus de 25 ans. Mon activité se concentre sur la médecine, la santé animale. J’ai d’abord été vétérinaire en clientèle mixte puis en clientèle canine. J’ai pu progresser doucement en passant d’une équipe de trois personnes à maintenant une équipe de 15 personnes.
Pourquoi avoir choisi le métier de vétérinaire ?
J’ai embrassé cette carrière parce qu’au départ, c’était la recherche de l’animal… J’aime les animaux, j’aime les papouiller et j’aime avoir une importance par rapport à leur vie et à leur non-souffrance. Et du coup, actuellement, mon travail c’est d’apporter ce que je peux apporter à mes patients. Et puis construire avec mon équipe et aider mon équipe à pouvoir apporter encore plus dans cette espèce de musique et dans ce tempo que je veux créer par rapport à cette structure.
Comment fonctionne votre clinique vétérinaire ?
On a, comme à l’hôpital, un tour des lits pour organiser au mieux les soins, l’évaluation du nouveau du patient qui a passé la nuit ici. Puis, il y a la préparation de la journée et des soins qui sont nécessaires pour aboutir à sa guérison.
Ensuite, j’ai un ensemble de rendez-vous qui sont pris par l’auxiliaire vétérinaire et que je vais recevoir. En sachant que les assistants vétérinaires accueillent les patients et leurs propriétaires. Ils leur proposent de nous rejoindre en salle de consultation, les uns après les autres, en fonction du planning.
Quel est le rôle de l’auxiliaire vétérinaire ?
Si je dois vous parler de ma relation avec l’auxiliaire vétérinaire, je vous dirais qu’elle est fondamentale.
Elle est fondamentale parce que chaque individu ne peut pas tout faire seul. Un animal et son propriétaire ont beaucoup de besoins et on ne peut pas tout faire tout seul.
On ne peut pas répondre à toutes les questions parce qu’elles ne viennent pas toutes au même moment.
Au niveau du département chirurgie, l’auxiliaire vétérinaire va avoir la grande responsabilité de prendre en charge le matériel chirurgical, le rendre propre puis le rendre stérile, puis le rendre accessible donc le ranger, le classifier, l’organiser.
Les auxiliaires vétérinaires ont une grande autonomie. Ils vont également, avec les chirurgiens, organiser le planning des chirurgies de la journée. Donc vous voyez, ce rôle d’auxiliaire vétérinaire est fondamental. Il l’est du côté du propriétaire, du côté du patient, du côté de l’équipe vétérinaire et de la structure toute entière.
Quelles sont les qualités requises pour exercer ce métier d’auxiliaire vétérinaire ?
Il faut des individus autonomes, aimant les animaux, d’abord et avant tout. La fiabilité est aussi essentielle en plus du sens de l’autonomie.
Comprendre ce qui va être nécessaire pour la propreté, pour le cocooning, pour la qualité des soins, pour le travail en équipe est tout aussi important que son amour des animaux, sa conscience de vie en équipe, son envie de partager et sa capacité à communiquer.
Que pensez-vous de la formation d’auxiliaire vétérinaire de Culture et Formation ?
Cette formation à distance de Culture et Formation va permettre à chaque apprenant de démontrer son esprit d’autonomie et sa capacité à apprendre selon son rythme.
C’est un avantage pour ce futur auxiliaire vétérinaire puisqu’il peut, même en ayant une activité parallèle, aller à son rythme.
Avec Culture et Formation, il y un stage pratique obligatoire. Cela fait la différence. Le métier d’auxiliaire vétérinaire est un métier pratique, un métier de réflexion également, mais un métier pratique d’abord.
Ces gestes pratiques, que l’élève va pouvoir acquérir grâce aux vidéos pédagogiques qui ont été incluses dans le contenu de la formation, sont un premier pas vers la découverte de ces gestes du quotidien du métier d’auxiliaire vétérinaire.
Ensuite, avec son stage, il passera à l’action. Quinze jours c’est pour moi un minimum. Il ne faut pas que les candidats rechignent à effectuer ces quinze jours de stage et je les engage même à chercher à faire plus.
Pourquoi est-ce que vous recommandez Culture et Formation et sa formation d’assistant vétérinaire ?
J’ai eu le plaisir de discuter au moment de la genèse de cette formation. En tant qu’employeur, ce qui me manquait dans les formations à distance, c’était le contrôle des connaissances et du contenu véritablement acquis par le candidat lorsqu’il venait postuler ou répondre à une annonce que je pouvais faire.
Culture et Formation, en créant les épreuves finales, m’offre, en tant qu’employeur, la capacité d’avoir des candidats dont les connaissances et le contenu acquis seront contrôlés.
J’accorde une valeur supplémentaire à ce type de formation à distance que Culture et Formation a mis en place.
vous intéresse ?
